mercredi 30 septembre 2009

Sunny Day Real Estate - Seven (Live On Jimmy Fallon 29/09/09)

Ça bouge pas mal pour Sunny Day Real Estate ces temps-ci. En plus de leur reformation cet été, du morceau Seven dans le jeu Guitar Hero 5 (que je trouve plus dur que le World Tour...) s'ajoute la réédition (merci Sub Pop) de leurs 2 premiers albums (Diary et LP2), en CD et vinyl, remasterisés et avec des morceaux bonus.
Pour fêter (ou promouvoir, c'est selon) ça, le groupe était hier soir en live chez Jimmy Fallon pour jouer leur tube Seven:



http://sunnydayrealestate.fm/

dimanche 27 septembre 2009

Biffy Clyro - The Captain

Troisième single (si on compte Mountains) extrait du futur 5ème album des écossais, Only Revolutions, à sortir le 26 octobre, ce The Captain sonne plus pop que jamais (et toujours orchestré) et devrait être à l'image de l'album qui risque de décontenancer encore plus ceux qui trouvaient le précédent, Puzzle, déjà trop mainstream ! En tout cas ça tranche avec le précédent single, That Golden Rule.
La vidéo (pirate - haha ! ) qui illustre le morceau est juste là:



Biffy Clyro assureront les premières parties de Muse sur toutes les dates françaises d'octobre / novembre et seront en tête d'affiche le 15 décembre à Paris, au Trabendo !

www.myspace.com/biffyclyro

mercredi 23 septembre 2009

Declan De Barra + Clelia Vega, lundi 14 septembre 2009, Paris, Le Sunset

Belle surprise que retrouver Clelia Vega (rencontrée suite à sa collaboration avec Powell) en concert à Paris en première partie de Declan De Barra, artiste irlandais que Yuri m'avait fait découvrir et dont il n'arrête pas de me vanter les mérites en concert. Declan et Clelia jouent 3 soirs de suite au Sunset, club jazz situé non loin des Halles et je ne peux y aller uniquement le premier soir.

La salle est loin d'être pleine (tout comme moi, à 6euros le demi je vais pas sortir en titubant...) quand Clelia monte sur scène avec la lourde tâche de captiver l'audience, seule au piano. Une tâche accomplie haut la main, ses morceaux mélancoliques et sa voix, pas loin d'une Beth Gibbons (Portishead), résonnant avec grâce dans la salle qui se remplit doucement.


Clelia Vega

Pas le temps de respirer et Declan De Barra monte sur scène, pieds nus, et entame un morceau a cappella avec sa voix magique pas loin d'un Jeff Buckley. Puis il prévient, avec humour, qu'il est malade et que si il meurt on peut avoir son ipod. Voilà les deux mots qui résument le mieux un concert de Declan De Barra: magie et humour. Tout le concert sera de la sorte, avec beaucoup d'anecdotes sur les morceaux (il parle moins que Jonah Matranga quand même) et des prestations vocales qui hérissent les poils des bras.
Il viendra même à inviter sur scène une artiste irlandaise, Carly Sings, qui jouera deux morceaux à elle au piano. Puis, Guillaume Thomas, un jeune lyonnais découvert par Declan quelques jours plus tôt sur youtube alors qu'il reprenait un des ses morceaux au piano et avec qui il va chanter deux morceaux dont le magnifique Throw Your Arms Around Me. La fièvre faisant son effet, la fin de concert devient difficile pour Declan (il avouera le lendemain ne s'être même pas rappelé de comment il a terminé le concert) et terminera sur un très beau morceau a capella, une fois de plus.
Une très belle prestation, qui m'a donné des regrets de n'avoir pu assister aux deux autres soirées (qui, selon les personnes présentes, étaient sublimes). Mais en tout cas la prochaine fois qu'il passe je ferais tout pour être présent !






Declan De Barra

mardi 22 septembre 2009

Clues - You Have My Eyes Now

Nouvelle vidéo pour les canadiens, toujours extrait de leur très bon album (la chronique ici) sorti chez Constellation cette année.



Ils seront également en tournée en Europe en octobre / novembre dont ces dates en France:
28.10.2009 Colmar, Hiero
29.10.2009 Paris, Glaz'Art
30.10.2009 Vendome, Festival Rockomotives
31.10.2009 Nantes, Le Lieu Unique
01.11.2009 Dijon, Festival Novosonic
02.11.2009 Orleans, L'Atelier
03.11.2009 Bordeaux, St-Ex
04.11.2009 Montpellier, Rockstore
05.11.2009 Macon, Cave A Musique

www.myspace.com/cclluueess

lundi 21 septembre 2009

Chroniques musique : 21 septembre 2009


Brand New - Daisy (Interscope - 2009)
Alors celui-là je l'attendais avec impatience ! La claque emo-power-pop que m'avait mis Déjà Entendu en 2003 est toujours sur ma joue et la nouvelle orientation plus sombre du précédent effort, The Devil And God Are Raging Inside Me, me convenait parfaitement. L'intro de Vices, une voie féminine échappée des années 50 accompagnée au piano, déroute, mais quand le morceau démarre subitement, ça envoie le bois ! Quelle puissance ! Ça fait longtemps que le groupe n'avait pas sorti un truc aussi énervé ! Et des morceaux énervés il y en a quelques uns (ne vous attendez pas à du hardcore non plus hein !) dont l'asymétrique Gasoline et aussi Sink (qui a un petit côté White Stripes par moments). Les autres morceaux restent du Brand New classique (donc bien au dessus le de la moyenne) à savoir des chansons souvent sombres, qui explosent (ou pas). L'album se termine à nouveau sur cette chanteuse que l'on entend au début et qui donne l'impression d'être tombé dans une faille temporelle l'espace de 40 belles minutes.
www.myspace.com/brandnew


Pearl Jam - Backspacer (Island - 2009)
Neuvième album pour le groupe de Seattle qui voit, comme à l’accoutumé, les hymnes fiévreux (Gonna See My Friends, Got Some ou Johnny Guitar), voir quasiment punk (le très Ramones, Supersonic) côtoyer les chansons plus posées (dont le superbe Just Breath, venant tout droit de l‘expérience Into The Wild d‘Eddie Vedder). Les prises de risques se font assez rares ce qui transforme cet album en un véritable blockbuster prêt à caracoler dans les charts notamment avec quelques morceaux qui risquent de faire un malheur sur les radios comme le premier et entêtant single The Fixer ou les deux titres de mi-album Amongst The Waves et Unthought Known (le morceau le plus FM du groupe ?). Un album direct et concis surtout marqué par son début à 100 à l’heure et la production très (trop ?) propre de Brendan O’Brien (de retour derrière les manettes 11 ans après Yield), mais qui s’essouffle un peu sur la fin, la faute à un tracklisting un peu bancal.
www.myspace.com/tenclub

dimanche 20 septembre 2009

Rock En Seine, 29 & 30 août 2009, Saint-Cloud



J'avais noté ce samedi 29 août sur mes tablettes depuis longtemps ! Enfin voir Faith No More ! Un truc encore impensable il y a moins d'un an. Puis, quelques semaines après, l'annonce de l'ajout des écossais Dananananaykroyd à la prog (mon groupe de l'année) faisant de moi le plus heureux du monde. Puis vint l'histoire des Petits Pois, ce groupe qui devait rester secret jusqu'au dernier moment. La fuite arriva quelques jours avant le début du festival, ces Petits Pois seraient en fait Them Crooked Vultures, le nouveau super groupe mené par Josh Homme, Dave Grohl et John Paul Jones (non je ne vous ferez pas l'affront de vous les présenter). Quelques jours de (fausse) réflexion et je me décide à prendre mon billet pour le dimanche également (oui, bien sûr, ils n'allaient pas jouer le jour où j'étais déjà présent, ça aurait été trop simple). Pas de journée d'ouverture pour moi, seul Bloc Party me bottait réellement (non je ne suis pas fan d'Oasis et heureusement d'ailleurs...), et puis 3 jours de festival je voyais ça un peu comme un marathon... j'ai plus l'âge pour ça...

Ce samedi matin est bien ensoleillé et je pars pour la Gare de Lyon (en avance) pour récupérer mes deux invités pour le week-end, Cora et Matthieu, tout droit venus de Clermont-Ferrand pour l'occasion. Mini visite express de Paris, une pause chez moi pour se remplir le ventre et on file direction Saint-Cloud.

On arrive pour le début de The Noisettes, groupe que je ne connais que de nom. Je regarde les deux premiers titres puis avec Cora on part voir les parisiens Cheveu dont j'ai entendu le plus grand bien ! Et c'est vraiment pas mal ! Même si leur musique entre garage et post-punk ne s'apprête vraiment pas à une programmation à 16h en plein soleil, elle captive le public présent.

Sur la scène de la cascade ce sont les danois The Asteroids Galaxy Tour qui se présentent, forts d'un single, Around The Bend très médiatisé ces derniers temps. Mais à part ce single le reste sonne assez plat malgré les efforts de la colorées chanteuse Mette Lindberg.

On décide de zapper Ebony Bones pour être bien placé pour Dananananaykroyd. A droite de la scène, aux barrières, plutôt pas mal. Les fans des écossais sont aussi présent(e)s et quelques dizaines de minutes plus tard ils débarquent, à 7 sur scène (deux batteries, deux guitares, deux chanteurs, un bassiste). Ça fait plaisir de les revoir depuis leur fantastique concert du Nouveau Casino en février dernier. Tout le groupe a le sourire aux oreilles et Callum et JBJ (qui s'est fait opérer d'une fracture du coude quelques semaines plus tôt) s'en donnent à cœur joie au micro, malheureusement, grande scène oblige, ils ne peuvent pas venir se frotter directement à la fosse comme ils le font lors de leurs concerts en salle. La setlist est axée sur leur album Hey Everyone! (album de l'année ? Pas loin je pense...) avec notamment l'enchainement des singles Black Wax, Pink Sabbath et Some Dresses (durant lequel ils essayeront de faire faire au public le désormais fameux wall of cuddles) qui mettra le feu à la fosse. Le concert s'achève après 45 minutes à bloc sur Song One Puzzle. Le public, qui pour la plupart découvrait le groupe à l'air d'avoir apprécier (enfin ceux qui sont resté...), mais pas évident quand même de rentrer dedans quand on ne connait pas vraiment les chansons à tiroirs du groupe.


Dananananaykroyd - Pink Sabbath

En face, le concert de Billy Talent a déjà commencé, n'ayant pas été très emballé par leur dernier album j'y vais a reculons. Le chanteur avec son pied sur les retours me fait penser à une caricature et le groupe arrive à m'ennuyer en jouant Try Honestly (leur meilleur morceau). On retourne sur l'autre scène attendre The Horros dont le (très influencé) dernier album m'avait plutôt bien surpris. Au bout de deux morceaux on file se poser dans la pelouse, n'arrivant pas du tout à rentrer dedans.

Après c'est le dilemme pour moi, soit je vais voir le début d'Offspring histoire de, ou soit je vais à la petite scène voir Yann Tiersen, étant très curieux de voir le breton dans sa formation électrique depuis un live en vidéo visionné il y a quelques mois où le post-rock délivré m'avait vraiment touché. Mon cœur d'ado prend le dessus et je vais voir Offspring, enfin juste le début, si c'est vraiment chiant en live (déjà vu 3 fois avant en plus) j'irais à la petite scène. Et bien figurez vous que je n'ai pas décollé de leur concert. J'ai été bluffé, un show très pro (américain quoi) axé principalement sur Smash et sur les singles du groupe. Tout y est passé, de Come Out And Play à Pretty Fly (For A White Guy) en passant par Want You Bad et The Kids Aren't Alright, ça a été l'usine à tubes pendant 1h, avec même quelques surprises comme la version piano / voix de Gone Away et le sautillant et inattendu What Happened to You? qui m'a fait revivre mes années lycée, et à regarder autour de moi je n'étais pas le seul, ça sautait de partout. Le set se termine sur un Self Esteem en forme de hymne attendu par tout le public. Pour un groupe dont je n'attendais plus grand chose j'ai été vraiment bluffé.



La poussière commence à m'irriter les bronches, ça tousse de partout. Pas de Calvin Harris mais une bonne place pour Faith No More. Les gars sont attendus par les fans et les curieux.
La musique fin 70 / début 80 diffusée avant le concert ("Knowing meeee, knowing youuuu") est en parfaite adéquation avec un groupe qui entre en reprenant Reunited de Peaches & Herb et dont les membres sont habillés comme si ils allaient à leur bal de promo. Mike Patton a une classe folle et la section rythmique tabasse fort ! Je ne réalise seulement que c'est un des groupes qui a bercé mon adolescence qui est face à moi que lorsque Be Agressive résonne. La setlist balaye toute la carrière du groupe et pas un morceau n'est en dessous de l'autre. Mention spéciale à Cuckoo For Caca et The Gentle Art Of Making Enemies (deux morceaux extraits de King For A Day, mon album préféré) dans des versions pleine de folie et aussi à la superbe reprise des Bee Gees, I Started A Joke. Les tubes ne sont pas oubliés, Epic, Easy et aussi We Care A Lot qui vient clôturer un excellent concert d'une petite vingtaine de morceaux pour un groupe qui m'a fait plus que bonne impression dix ans après leur séparation !



Birdy Nam Nam a commencé sur l'autre scène, d'ailleurs plein de monde a déserté la fin du concert de Faith No More (c'est marrant on se retrouve entre trentenaires et plus...) pour les voir. On passe devant mais on ne s'arrête pas, demain on remet ça (enfin, juste Matthieu et moi) alors on va se reposer !

Dimanche matin, on part faire les touristes (enfin pas trop, on en a plein les jambes de la veille) dans le quartier latin et prendre à manger au meilleur libanais de Paris (ou presque - 35 rue Saint André des Arts, dans le 6ème). Puis une pause dans les jardins de Bercy et on accompagne Cora à la gare de Lyon.

Arrivés au parc de St Cloud, on se rend compte que les tee-shirts Queens Of The Stone Age sont de sortie, c'est l'effet Them Crooked Vultures ça. J'entends au loin le dernier morceau de Macy Gray (le tube I Try) et je me fais exploser les oreilles par un des roadie à Sliimy qui lache un horrible larsen. D'ailleurs on reste quelques minutes a regarder son concert (et ses fans de moins de 15 ans)... c'est très mauvais... On serait courageux, on attendrait patiemment qu'il termine pour avoir une bonne place pour Them Crooked Vultures, mais on file vite attendre le début de Eagles Of Death Metal en face.

Le groupe à Jesse Hughes est en place et envoient leurs morceaux devant des fans conquis d'avance. Derrière, on s'ennuie ferme... Troisième fois que je les vois et à chaque fois c'est pire. On retourne à la petite scène, en plus Sliimy a terminé.

Bizarrement, il n'y a pas encore trop de monde, ceux qui attendent Them Crooked Vultures sont pour la grande majorité devant Eagles Of Death Metal, ça tombe bien, on va pouvoir se mettre très près de la scène ! D'ailleurs on retrouve Sylvie, déjà en place sur la droite. Au fur et à mesure que le temps passe, l'excitation monte et la foule grandi derrière nous. La batterie avec le logo du groupe est déjà en place. Et puis d'un coup ils rentrent sur scène, Dave Grohl puis Josh Homme et John Paul Jones, accompagnés par Alan Johannes à la deuxième guitare et la c'est la folie. "Petits pois" qu'annonce Josh Homme avec un grand sourire (d'ailleurs tout le public les acclamera de la sorte, comme une blague, pendant tout le concert. Ce qui me fait dire que certaines personnes, pas au courant de qui c'était réellement, sont allées peut-être demander l'album des Petits Pois dans leurs disquaires...). La machine se met en route. Et là, grosse frustration, d'où je suis placé, Josh Homme me cache Dave Grohl (!!!) ! Donc au premier mouvement de foule je me recentre (Matthieu me suit également) et me retrouve devant, pile en face de Dave, ce coup-ci uniquement caché par ses cheveux, et qui martyrise sa batterie comme rarement j'ai vu quelqu'un le faire en concert. J'ai eu un peu de mal à rentrer dans le truc au début, puis après quelques morceaux, la musique du groupe a agit comme un rouleau compresseur sur moi ! Grosse impression sur une très grosse partie de leur set. Des morceaux bluesy-stoner-rock (ça louche quand même beaucoup du côté de Queens Of The Stone Age, chant oblige) plutôt excellents, certains moins immédiats que d'autres mais qui, avec le temps et avec un album à venir bientôt, vont certainement, pour la plupart devenir de futurs classiques ! Et puis, voir Dave Grohl, comme un gosse, tout sourire quand il croise le regard de John Paul Jones (qui a livré une prestation impeccable) est un moment inoubliable.



Dur de se remettre de la claque subit quelques minutes plus tôt. En face il y a MGMT et on va suivre ça de très loin, assis, on ne loupe pas grand chose, ça sonne un peu fade, seul le tube Kids m'attire l'oreille. J'aurais été seul, je pense que je serais rentré chez moi. Mais je reste, en loupant également Klaxons, groupe qui ne m'inspire guère. On se place vers la grande scène, pour The Prodigy (ou comment continuer dans le trip 90s) un peu éloignés mais en ayant une bonne visibilité quand même.

Jamais vu The Prodigy en live, juste des vidéos, il y a plus de 10 ans de cela, d'ailleurs je n'ai pas trop suivi le groupe depuis The Fat Of The Land (1997) et je ne sais pas trop à quoi m'attendre. Mais en tout cas ils sont attendus par une foule très dense !
Derrière ses machines, Liam Howlett lance les son, et les deux piles électriques que sont Maxim Reality et surtout Keith Flint (il marche à quoi lui ?) scandent les paroles en forme de slogans, le tout accompagné en live par un batteur et un guitariste. Niveau setlist c'était juste parfait: Breath, Poison, Firestarter, Voodoo People ou encore l'énorme Smack My Bitch Up, le tout entrecoupé par des nouveaux morceaux qui n'ont pas à rougir en comparaison avec ces classiques du groupe. Et si on rajoute à ça une ambiance de folie dans TOUT le public (j'ai rarement vu ça), devant derrière, sur les côtés, tout le monde bouge (et d'où on était placés, un peu surélevés, ça se voyait vraiment bien), ça donne un concert qui va rester longtemps dans les mémoires ! Le groupe quitte la scène avec Out Of Space chanté en chœur par le public qui en aurait bien repris encore une heure de plus. Très très gros concert !



Tout le monde part, Rock En Seine édition 2009 est terminé. Une bien belle édition surtout marquée, pour moi, par les groupes (ou musiciens) de mon adolescence, le genre de cure de jouvence que je prendrais bien toutes les semaines !

mercredi 16 septembre 2009

Memoria - A Tribute To The Alternative 90s


Beaucoup d'occupations ces derniers temps (comme vous avez pu vous en rendre compte au vu de la date de la dernière mise à jour...) avec notamment les dernières retouches à la compilation Memoria que je sors sur Yr Letter en Octobre ! Octobre 2009, hein ! Presque 2 ans que le projet est lancé et tout est quasi ok pour être envoyé à l'usine. Enfin !
Un travail de longue haleine pour récupérer les 17 titres, les notes à insérer dans le livret et faire comprendre à la Sacem que je ne veux pas utiliser les morceaux originaux... Dernière fois que je sors une compilation !
Donc voilà, ça sort en Octobre (sous réserve d'une catastrophe nucléaire ou autre), les pré commandes se trouvent ici: http://yrletter.bigcartel.com et le tracklisting va ressembler à ça:

1. Frank Turner - Sally (Kerbdog)
2. Gâtechien - Bombtrack (Rage Against The Machine)
3. Dead Pop Club - I Was Dreaming (Les Thugs)
4. Walter Schreifels - When You Sleep (My Bloody Valentine)
5. DevonMiles - Getchoo (Weezer)
6. Cooper -Static (Jawbox)
7. Lula Fortune - Fuzzy (Grant Lee Buffalo)
8. Down To Earth - Let Me Drown (Soundgarden)
9. Billy Gaz Station - Grant Hart (The Posies)
10. Powell - Head To Wall - Feat. Cyesm (Quicksand)
11. Luis Francesco Arena - I Like It (Far)
12. Lead Orphans - Corduroy (Pearl Jam)
13. Atomic Garden - Grudge (Mega City Four)
14. Run Ronie Run - Foreign Devils On The Silk Road (Chokebore)
15. Mr Moustache - Dust Cake Boy (Babes In Toyland)
16. Novels - Aneurysm (Nirvana)
17. Jonah Matranga - Be Quiet And Drive (Far Away) (Deftones)

L'artwork est ce que vous pouvez voir tout en haut.
Il y a un teaser, avec des extraits de chaque morceaux, sur le myspace du label et quelques morceaux en écoute intégrale sur les pages des groupes. Tous les liens ici.

Bon maintenant, je m'attèle au live report de Rock En Seine et aux chroniques des disques qui s'entassent sur mon bureau...